Les végétaux, source de vie

Les végétaux donnent d’abord des fruits et des légumes mais ce n’est pas tout. Le café provient d’une graine, le chocolat du cacaoyer. Le miel est fabriqué par les abeilles à partir du nectar des fleurs… la liste est longue car les végétaux sont indispensables à notre survie, autant qu’à celle des animaux. D’ailleurs le grand et respectable scientifique Albert Einstein indiquait bien que sans aucun abeille, l’être humain ne pouvait pas vivre au delà de 4 années.

Les végétaux ne sont pas uniquement une source de vie pour les êtres humains mais également pour les tous les autres êtres vivants (insectes, oiseaux, mammifères, etc.) et ce, quels qu’ils soient.

La mort des végétaux

végétaux mourant

végétaux mourant

Donc si les végétaux mouraient, il n’y aurait plus rien à manger, pour nous, pour les animaux. Lorsque que les plantes vertes fabriquent des aliments, elles rejettent de l’oxygène. C’est un gaz que tous les animaux respirent pour vivre. Sans végétaux, plus d’oxygène, et donc plus rien à manger.

Et voici le début d’un roman de science fiction… comment survivre dans un monde où il n’y a plus une seule plante. Des machines qui fabriquent ce dont on a besoin, des dômes d’oxygène, des denrées venues d’ailleurs pour continuer à vivre sur terre… ?

L’imagination peut également permettre de trouver des solutions pour aider notre pauvre petite planète à survivre à notre impact. Si les végétaux mourraient et disparaissaient complètement de la surface de la terre, aucune vie ne serait possible. Et ce, pour une raison très simple : les végétaux font partie intégrante de notre éco-système mais surtout du cycle de la vie.

Ils participent à l’équilibre terrestre à chaque instant. Pour cette raison, la déforestation, l’assèchement de certaines zones ou encore la désertification nous concerne tous. Tous ces actes ont un impact plus ou moins important sur notre vie quotidienne et à plus long terme sur notre futur. Nous avons la responsabilité de laisser aux générations futures une planète propre mais nous en sommes encore bien loin.

M’est avis qu’il faudrait en prendre plus grand soin de notre petite terre.